Gouvernance et condition des université : réaction à froid

Je suis partie pendant la période de question de la deuxième partie. Ce matin il y avait tellement de monde que je me suis assise par terre quand je suis arrivée (en retard). Cet après-midi c'était quand même plein mais avec un peu moins de monde.

Hum... À froid comme ça (je reviendrai sur les sujets traités après réflexion).

En comprenant mieux comment les universités sont financées, je crois que l'argument du réinvestissement massif tient mal la route. L'argent est là. L'État en distribue.

Je suis maintenant de plus en plus convaincue que ce sont seulement des considérations politiques qui décident où va l'argent dans les établissements.

Je suis maintenant totalement convaincue qu'une partie de la population (décideurs compris) veulent la mort des sciences sociales. Rien de personnel, ce n'est juste pas rentable.

J'ai été sensible à l'argument de "l'ennemi de l'intérieur"... matière à reflexion.


*Mon meilleur: Gilles Gagné (professeur titulaire, Université Laval). Il est incroyable^^.

*Rappel amusant: Mario Dumont a fait ses études au moment du gel de frais.

*Crédibilité 0: Yvan Allaire, qui était là pour défendre l'idée qu'il est important d'avoir des membres externes dans un conseil d'administration d'université (parce qu'ils gèrent mieux) est également... Sur le C.A. de la Caisse de dépôt et de placement du Québec (oui oui, elle).

La phrase qui décrit le tout: La problématique de la gouvernance est une solution à un faux problème. Il y abeaucoup mois de collusion entre membres de la communauté universitaire, qu'entre les acteurs du privé entre eux.