Ce coup de force lance un message sans équivoque de fermeture de leur espace d'action, d'expression et de manifestation. Plus largement, il porte atteinte à la liberté politique qui caractérise l'université depuis qu'elle existe dans le monde occidental. En cela, cette décision fait passer la démocratie au bilan des pertes de l'UQAM... alors même qu'aucun de ceux qui sont à l'origine des graves difficultés dans lesquelles se débattent notre université et ses étudiants n'a subi la moindre sanction: deux poids, deux mesures?
Là qu'est ce que je fais?
Je m'en vais à mon cours en retard en espérant qu'il n'y ait pas 50% Des étudiants, donc que mon cours, qui est en grève, ne se donne pas même si nous ne pouvons pas piqueter devant.
Impuissance...
Eh oui...j'ai de très belles photos de la manif du jeudi... mais les évènement se bousculant...
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