lundi 31 décembre 2007
ZAP 2007, LA REVUE DE L’ANNÉE DES ZAPARTISTES !
Pwel m'a téléphonée ce matin. J'avais les yeux encore clos... Le temps des fêtes, c'est beaucoup beaucoup d'heures de sommeil à rattraper...
Bref, tout de go elle me lance : Pis, tu le fais-tu ton papier sur les Zapartistes ???
merdouille... j'avais oubliée...
Zut au lieu de Zap... le mal était fait...
C'est impardonnable pour 2 raisons, la première c'est que c'est EXCELLENT (mes coups de coeurs éternelles : Harper, Charest et Marie Dumont... juste WOW !) et la seconde : il y a des supplémentaire et en "yes man fan" que je suis*, je me dois d'en faire la promo : j'adhère entièrement au produit. :)
Allez-y en masse, c'est EXCELLENT
EN SUPPLÉMENTAIRE LE 3 JANVIER AU MÉTROPOLIS !!!
L’année 2007 achève et il est hors de question de la laisser souffrir au-delà du raisonnable.
Les Zapartistes vous invitent à tirer ensemble la plogue de cette autre agonisante annus horribilis.
De la débâcle d’André Boisclair à celle annoncée de Dion, de l’embâcle de l’ADQ à celle des Conservateurs, du couronnement de Sarkozy à celui de Pauline, l’année fut fertile en haut, mais surtout en bas.
Le huard s’envole, les avions de Bombardier plantent, le climat se dérègle et le déséquilibre ne se règle pas, feu vert à Rabaska et algues bleues dans l’eau.
Viaducs, Agriculture, Aînés et Accommodements, les québécois ont plus de choix que jamais dans le magasinage de leurs commissions !
De Kandahar à Hérouxville en passant par la Tunisie, l’imam Jaziri, le doc Mailloux, le Pape, Poutine, Chavez, Bush, Ben Laden, Harper, Layton, Mulcair, Duceppe, Charest le mal-aimé, Mario le surestimé, et tous les maires Tremblay, personne ne sera épargné !
Pas même Fidel !
Bienvenue à ZAP 2007, le spectacle où on va mettre nos culottes pis parler des vraies affaires !
27, 28, 29 et 30 décembre ET SUPPLÉMENTAIRE LE 3 JANVIER Montréal, au Métropolis, en formule cabaret !
4 janvier 2008 Québec, au Capitole
5 janvier 2008 Sherbrooke, au Centre culturel de l’Université
Bonne fin d'année 2007 à tous et à toutes !!!
*Normalement, je tente le moins possible de faire des pubs pour ce dont je ne suis pas payée. Afficher sur soit des marques, c'est dépenser pour leur faire vendre d'autres produits, être une yes-man n'est donc pas un objectif de vie.
Mon coeur est rempli d'amour... ma palme d'or 2007
J'ai eu beaucoup de belles découvertes en cette année 2007.
Évidement, J'ai des favoris. Bien que dans mon coeur trône sa majesté Lapointe et son prince Dumas, j'adore ce fou du roi, Xavier.
Petit partage afin de contaminer le plus de gens possible :)
"Et si c'était la fin du monde, je la verrais à la TÉLÉVISION !!!"
Bonne fin d'année 2007 !!
dimanche 30 décembre 2007
Les deuxièmes moins bons que les premiers...
...mais les Pennac sont tous bons :D
Ai voulu lire Un loup est un loup de Folco, me suis enfargée dans Messieurs les enfants de Pennac.
C'est pour plein de raisons comme les suivantes que je l'aime;) :
J'ai fini Pennac et je me sentais toujours d'attaque pour Folco, mais c'est vrai que c'est très très différant de Dieu et nous seul pouvons. Ce n'est pas mauvais, mais j'aurais dû lire le deuxième en premier... ça aurait été meilleur.
En fait, appart tous les loups que je trouve très cutes et l'espèce de culture de la violence généralisée qui est toujours aussi divertissante (même si ça brise toujours le coeur de voir les personnages que l'on aime mourir:( ) je me demande vraiment où ça veut en venir... et il me reste 75 pages à lire sur 630...
En parlant de violence... J'ai écouté The Devil's Rejects de Rob Zombi. J'ai détesté. C'était pas fin, pas drôle, trop long.
Je sais que ce n'est pas vraiment la suite de House of 1000 Corpses, mais j'avais tellement aimé ça que j'espérais avoir une petit graine de tout ce qui m'avais tellement fait rire dans le premier film. Très décue... nous l'avons fini juste parce que jusqu'à la fin nous espérions qu'ils souffrent terriblement et qu'on puisse enfin les voir se tordre de douleur en demandant grâce... Hum... Je pense que nous sommes trop influencés par la violence à la télévision...
Demain?
Crystal Castle revient à Montréal et devinez qui va défoncer l'année avec?
Amusez-vous bien tout le monde!
Yay!
***Toutes les pensées vers le vide que laisse Benazir Bhutto :( ***
Ai voulu lire Un loup est un loup de Folco, me suis enfargée dans Messieurs les enfants de Pennac.
C'est pour plein de raisons comme les suivantes que je l'aime;) :
Je vais prouver à Dieu l'existence de l'homme.(p.58)
Retourner en deux secondes dans la chambre, laisser un mot sur le brouillon vierge: C'est Crastaing qui m'a tuer, retourner à la fenêtre, sauter, et libérer tous les élèves de tous les Crastaing du monde, et tous les Popes de toutes les "conversations avec monsieur votre père". C est un libérateur qui va sauter dans le vide: Joseph Bolivar-Pritsky!(p.69)
Qu'un moutard vous demande "Pourquoi il pleut?", la pire des réponses à lui faire concerne "les nuages...", réponse qui entraîne illico "Pourquoi les nuages?", et vous voilà embarqué dans l'analyse complexe des "précipitations atmosphériques", "Pourquoi les prézipitations?", avec leur cortège d'anticyclones, "Et pourquoi ils viennent des Zazores?"... Folle spirale où vous heurtez vite et fort les parois de votre incompétence, ce qui vous accule à la baffe libératrice, ou pis, au mensonge.
Non. Cet âge réclame des réponses finales
Un exemple de réponse finale?
-Pourquoi il pleut? Demandait invariablement Igor quand nous promenions nos dimanches à la campagne.
-Hein? Pourquoi il pleut?
-Pour que les fleurs poussent, Igor. (p.103)
Confisqué, mon Opiniel,et avec lui, toute envie de meurtre, à jamais. Ce qui a singulièrement compliqué ma vie. Renoncer à l'assassinat c'est se condamner à comprendre; il faudrait y regarder à deux fois. (p.170)
JOSEPH (murmurant): De toute façon Ismaël, n'est pas un bon parti pour Tatiana. Il sera toujours fauché.
NOURDINE (piqué): Pourquoi?
JOSEPH: Parce qu'un mec qui peint la femme qu'il aime, ça vend pas un seul tableau.
NOURDINE: ...?
JOSEPH (sourcils de l'évidence): Ça les lui offre. (p.191)
Les trois grands refermèrent la porte comme on s'excuse. (p.197)
Rien ne pouvait les accabler davantage que la nouvelle de ce bonheur. (p.197)
Mais si justement,justement, les petits faut les appeler mon grand et les grands faut les appeler mon petit, faut encourager tout le monde!... Tes élèves?... Ils sont devenus grands? C'est ça la vie de prof, non? On arrose, on arrose et ça pousse! (p.225)
-Pourquoi ça fini bien, monsieur? demanda le plus téméraire, en tordant une bouche critique.
-Parce que tu finiras mal, mon petit bonhomme, répondit M. Crastaing, et moi aussi, ajouta-t-il, il suffit de le savoir, ce n'est pas la peine d'en rajouter. (p.256)
*Daniel Pennac, Messieurs les enfants, édition Gallimard, collection Folio, 259p.
J'ai fini Pennac et je me sentais toujours d'attaque pour Folco, mais c'est vrai que c'est très très différant de Dieu et nous seul pouvons. Ce n'est pas mauvais, mais j'aurais dû lire le deuxième en premier... ça aurait été meilleur.
En fait, appart tous les loups que je trouve très cutes et l'espèce de culture de la violence généralisée qui est toujours aussi divertissante (même si ça brise toujours le coeur de voir les personnages que l'on aime mourir:( ) je me demande vraiment où ça veut en venir... et il me reste 75 pages à lire sur 630...
En parlant de violence... J'ai écouté The Devil's Rejects de Rob Zombi. J'ai détesté. C'était pas fin, pas drôle, trop long.
Je sais que ce n'est pas vraiment la suite de House of 1000 Corpses, mais j'avais tellement aimé ça que j'espérais avoir une petit graine de tout ce qui m'avais tellement fait rire dans le premier film. Très décue... nous l'avons fini juste parce que jusqu'à la fin nous espérions qu'ils souffrent terriblement et qu'on puisse enfin les voir se tordre de douleur en demandant grâce... Hum... Je pense que nous sommes trop influencés par la violence à la télévision...
Demain?
Crystal Castle revient à Montréal et devinez qui va défoncer l'année avec?
Amusez-vous bien tout le monde!
Yay!
***Toutes les pensées vers le vide que laisse Benazir Bhutto :( ***
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lundi 24 décembre 2007
Mon conte de Nowel, Joyeux Naël...
Verre de vin en main, humour macabre, sourire en coin... Franchement,ça tombait bien...
Bon temps des fêtes :)
C'est tellement cute!
Un beau conte de Noël par Étienne Hallé!
Partie I
Partie II
hihi parce qu'on aime se donner l'eau à la bouche...
Partie I
Partie II
hihi parce qu'on aime se donner l'eau à la bouche...
Le Père Noël lui expliqua comment charger, armer, sélectionner le tir, puis finalement comment viser et tirer.
* Vous ne croyez pas qu’on va se faire massacrer par ces mercenaires? Moi, je ne pense pas qu’on va faire le poids… dit Godefroy.
* Croyez-vous au Père Noël maintenant?
* Euh, oui… répondit-il, en se sentant quelque peu ridicule.
* Alors tout est possible : montez derrière!
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samedi 22 décembre 2007
L'amertume ne tue pas vraiment...
Comment ose-t-ils ?
« N'est pas conformiste qui veut. Il faut passer par l'éducation ».Albert Brie
Non mais... Avec une grève qui est le pire flop de l’Histoire du mouvement étudiant, comment ceux que les modifications des prêts et bourses (AFE) évincent ne croulent-il pas sous les dettes, bien loin des pancartes à oser croire que la connaissance est une richesse ?
Richesse le savoir ? Et puis alors…L’ignorance rend mille fois plus heureux dans sa servitude. Et le bonheur n’a pas de prix… même avec deux visa et une master card…
Bref, c’est un cadeau du gouvernement envers les contribuables que d’augmenter drastiquement le pourcentage de bonheur de sa population en modifiant les modalités de son aide monétaire (AFE). C’est prouvé, plus l’ignorance sévit, plus le bonheur est à la porte.
Mieux, la propagande envers les mouvements étudiants (indépendant, FECQ, FEUQ, ASSEE) tous y passent négativement dans les médias. Ainsi, même l’étudiant aisé en vient à mépriser les « besoins » monétaire de son congénère et les nécessiteux finirons par dépit, à quitter ce monde d’intellect qui ne les respect pas. Piteux et désormais convaincu de leur entière responsabilité de cet échec, ils courberont l’échine pour reprendre leur place, c’est-à-dire celle en bas de l’échelle, celle qu’ils n’ont jamais été capable de quitter. C’est pour le mieux, « chaque chose à sa place, une place pour chaque chose ». Il à tant fallu de temps pour qu’ils comprennent… Une chance que le gouvernement est là pour veiller, nous pouvons dormir en paix maintenant.
Le fameux rapport Parent avait tout faux…
« Je considère tout travail d'éducation néfaste, qui tient compte uniquement de ce qu'il ajoute, sans souci de ce qu'il mutile ». Albert Brie
« Les bénéfices de l'éducation dépassent l'individu et la localité; le progrès de l'enseignement sert principalement les intérêts généraux de la société, de sorte qu'on peut et qu'on doit désormais considérer l'éducation comme une entreprise nationale».
L’éducation n’est pas une entreprise nationale, c’est un système de formation qui a comme but de faire de l’individu un maillon, bien rond, bien soumis, bien-pensant. La chaîne étant ce qui dépasse l’individu et la localité.
Le choix d'un système d'éducation a plus d'importance pour un peuple que celui de son gouvernement. Gustave Le Bon
Voilà comment je me sens, résistante à m’en trouvé pathétique, ironique surtout…
J’aime l’idée que ma résignation n’est que le moteur de mon indignation. Même si j’ai l’impression de scander des valeurs à plein poumon dans le néant, j’espère. Oui, j’espère un Québec autrement… Faut croire que l’espoir fait vivre et que l’amertume ne tue pas, menfin, ne tue pas vraiment…
jeudi 20 décembre 2007
Notre complexe des sciences
Nous l'aimons. Oh oui! (Je n'ai jamais mit les pieds là. C'est beau au moins?)
La ministre dit que c'est à nous de le payer. Oh oui!
Notre recteur-à-venir-en-janvier s'est essayé. Oh oui?
Bref "premier affrontement" entre la minisre de l'éducation et notre recteur-à-venir-en-janvier *Ding ding ding* (l'aimons-nous? Hum... réservons notre jugement pour des actions à venir...)
Une belle phrase de lui en finissant:
Je n'ai pas l'intention de me bâtir la réputation d'un boucher tronçonnant l'UQAM à la manière néolibérale.
C'est beau hein? Je le reconnais comme quand il disait en classe: "Demandez à un Américain moyen si il a l'impression que la façon de vivre et les valeurs américaines sont un avancement ou un recul, et je vous garanti que vous n'en trouverez pas qui pensent qu'ils reculent." C'est ce genre de phrases là qui faisaient que je m'attachais.
En contrepartie je n'oublie pas que c'est aussi l'homme qui nous a dit, après avoir remit le travail de session, en nous regardant dans les yeux: "réflechissez-y bien avant de demander une révision de notes parce que les miennes sont beaucoup plus souvent à la baisse." C'est aussi l'homme qui en revenant de la grève, nous a ammené un beau papier où il était écrit que "parce que les cours du tel tel et tel jour ont été utilisés à d'autres fins que le cours, nous allons finir à 6h aujourd'hui et *bla bla où il décidait quand et où nous allions reprendre les cours*". Heureusement que les grandes gueules au courant de leurs droits (arrêtez de me pointer j'étais loin d'être toute seule:P) ont manifesté (bruyamment) leur insatisfaction. Nous avons ainsi pu avoir le droit de reprendre la matière perdue, tout en gardant de la considération pour le fait que ces décision là se prennent (Yay la tradition uquamienne!) conjointement entre le professeur ET les étudiants.
Bref quand je pense à Corbo, je pense à quelqu'un qui s'essaye à l'intransigeance mais qui n'est pas un tyran. Si il y a mécontentement il va laisser un peu plus de place (sans que ça parraisse bien sûr).
Évidement ces observations sont les miennes personnellement, acquises dans le cadre d'un cour que j'adorais (parce qu'il est excellent pédagogue et qu'en plus il connait vraiment bien sa matière). Je ne le connais pas ailleurs et surement pas en tant que recteur. J'ai presque hâte ;) .
En terminant, une spirituelle conversation autour de pichets à l'après-cours: -Maudite école, c'est comme du crack, pendant qu'on est dedant ont se dit qu'on a hâte d'en sortir, pi quand y'en a pu on tombe en manque.
-*les yeux écarquillés sous la surprise* C**** t'as tu déjà fait du crack?
La ministre dit que c'est à nous de le payer. Oh oui!
Notre recteur-à-venir-en-janvier s'est essayé. Oh oui?
Bref "premier affrontement" entre la minisre de l'éducation et notre recteur-à-venir-en-janvier *Ding ding ding* (l'aimons-nous? Hum... réservons notre jugement pour des actions à venir...)
Une belle phrase de lui en finissant:
Je n'ai pas l'intention de me bâtir la réputation d'un boucher tronçonnant l'UQAM à la manière néolibérale.
C'est beau hein? Je le reconnais comme quand il disait en classe: "Demandez à un Américain moyen si il a l'impression que la façon de vivre et les valeurs américaines sont un avancement ou un recul, et je vous garanti que vous n'en trouverez pas qui pensent qu'ils reculent." C'est ce genre de phrases là qui faisaient que je m'attachais.
En contrepartie je n'oublie pas que c'est aussi l'homme qui nous a dit, après avoir remit le travail de session, en nous regardant dans les yeux: "réflechissez-y bien avant de demander une révision de notes parce que les miennes sont beaucoup plus souvent à la baisse." C'est aussi l'homme qui en revenant de la grève, nous a ammené un beau papier où il était écrit que "parce que les cours du tel tel et tel jour ont été utilisés à d'autres fins que le cours, nous allons finir à 6h aujourd'hui et *bla bla où il décidait quand et où nous allions reprendre les cours*". Heureusement que les grandes gueules au courant de leurs droits (arrêtez de me pointer j'étais loin d'être toute seule:P) ont manifesté (bruyamment) leur insatisfaction. Nous avons ainsi pu avoir le droit de reprendre la matière perdue, tout en gardant de la considération pour le fait que ces décision là se prennent (Yay la tradition uquamienne!) conjointement entre le professeur ET les étudiants.
Bref quand je pense à Corbo, je pense à quelqu'un qui s'essaye à l'intransigeance mais qui n'est pas un tyran. Si il y a mécontentement il va laisser un peu plus de place (sans que ça parraisse bien sûr).
Évidement ces observations sont les miennes personnellement, acquises dans le cadre d'un cour que j'adorais (parce qu'il est excellent pédagogue et qu'en plus il connait vraiment bien sa matière). Je ne le connais pas ailleurs et surement pas en tant que recteur. J'ai presque hâte ;) .
En terminant, une spirituelle conversation autour de pichets à l'après-cours: -Maudite école, c'est comme du crack, pendant qu'on est dedant ont se dit qu'on a hâte d'en sortir, pi quand y'en a pu on tombe en manque.
-*les yeux écarquillés sous la surprise* C**** t'as tu déjà fait du crack?
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mercredi 19 décembre 2007
Wow!
Je l'ai commencé hier, je l'ai fini en me levant ce matin:
"Dieu et nous seuls pouvons" de Michel Folco.
L'histoire est prenante, l'écriture est vraiment vivante, les personnages un poil macabres (mais tellement de panache!) et ô combien attachants.
Je suis vraiment tombée en amour... Sérieux... une dynatie d'exécuteurs (8 générations!)... je me demande vraiment comment ça je ne connaissais pas ça avant.
Mieux vaut tard que jamais :D.
Je cours au Volume (mon magasin de livres a moi) pour aller acheter les suites "Un loup est un loup" et " En avant comme avant".
En cherchant une image du livre sur le net où je suis tombé sur un blog qui disait que "la fin était décevante". Je n'ai pas osé lire plus loin du coup qu'elle me vend le punch;) . J'espère vraiment que elle et moi n'avons pas les mêmes goûts...
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Littérature
mardi 18 décembre 2007
Perles de profs
J'ai gardé ici le peu que j'ai eu le temps de noter et qui m'ont bien fait rire...
Des opinions garochées, c'est bon pour les blogues.
*en levant les yeux aux ciel*
3000 ans d'humanité pour donner un nom comme "le centre Pepsi".
Grevez une semaine pour sauver l'UQAM, grevez un mois pour sauver toutes les universités du monde!
*en parlant de la quantité de matière différente sans lien qu'il fallait apprendre*
C'est comme essayer de boire avec un boyau d'incendie.
*En parlant de la sécurité des gladiateurs*
Vous savez, la cruauté s'arrête là où la rentabilité commence.
*En parlant des successions compliquées*
Préconiser la simplifification par l'assassinat.
Des opinions garochées, c'est bon pour les blogues.
*en levant les yeux aux ciel*
3000 ans d'humanité pour donner un nom comme "le centre Pepsi".
Grevez une semaine pour sauver l'UQAM, grevez un mois pour sauver toutes les universités du monde!
*en parlant de la quantité de matière différente sans lien qu'il fallait apprendre*
C'est comme essayer de boire avec un boyau d'incendie.
*En parlant de la sécurité des gladiateurs*
Vous savez, la cruauté s'arrête là où la rentabilité commence.
*En parlant des successions compliquées*
Préconiser la simplifification par l'assassinat.
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université
Harvard et la gratuité scolaire...
Trouvé sur le blog de la gang de Ractionism Watch. La source est ici.
Sur le coup ça m'a sciée.
Puis j'ai compris que les têtes dirigeantes de Harvard sont très intelligentes.
Bien sûr que le principe social de rendre l'éducation plus accessible est louable, et je suis sure que ce principe a joué dans la prise d'une telle décision, mais personne ne peut m'accuser de cynisme quand nous regardons tous les avantages qu'il y a pour une université aussi prestigieuse que Harvard de s'ouvrir aux basses classes.
Aux État-Unis, comme dans tout pays qui a choisi la voie néo-libérale, la richesse se concentre de plus en plus dans les mains de moins en moins de personnes. Ces familles (pour ne pas dire dynasties) occidentales étant ce qu'elles sont, elles font aussi de moins en moins d'enfants. Ce qui veut dire qu'il y a de moins en moins de clientèle chez les plus aisés de la société pour les université comme Harvard.
En ouvrant ses portes aux moins nantis, Harvard diversifie son marché, et quand nous savons que c'est les anciens étudiants qui ammènent les gros sous et le prestige de leur rang dans la société une fois leurs études terminées... et bien moi j'appelle ça un bon investissement sur le futur.
Sans oublier que nous parlons ici des État-Unis, un pays industrialisé qui fait peur avec son taux d'analphabétisme. C'est un fait, il y a de moins en moins d'instruction et donc le nombre d'étudiants qui vont vouloir entrer à l'université va (est en train de ?) chuter. En se rendant accessible immédiatement à tous, Harvard aggrandit sa chance de puiser dans un bassin de clientèle qui se rétrécit déjà. Moi j'appelle ça damer le pion aux autres universités.
Sérieux, c'est vraiment brillant...
De toute façon j'aime beaucoup l'idée que des étudiants motivés et talentueux vont se retrouver là où ils devraient être; derrière des pupitres à apprendre, à analyser et ainsi a trouver des solutions créatives pour l'avenir de leur carrière ET de leur communauté, au lieu de s'embarquer dans l'armée. Donc quels que soient les motifs, j'encourage toutes les universités qui le peuvent à suivre l'exemple.
Évidement un tel modèle n'est pas viable pour les universités québecoises, sauf peut-être (et là je n'ai pas de chiffres à l'appui, je me lance sans filet) pour celles qui ont une tradition anglo-saxonne de mécénat de l'institution par les anciens élèves (nenon je vise personne:P).
Sur le coup ça m'a sciée.
The new system would mean families with 180,000 dollars income would pay 18,000 dollars instead of the 30,000 dollars they now pay, the college said in a statement on its website.
A 10-per-cent-of-income charge would apply for incomes between 120,000 and 180,000 dollars. Below 120,000 dollars, the percentage steadily drops to zero for families earning 60,000 dollars.
Puis j'ai compris que les têtes dirigeantes de Harvard sont très intelligentes.
Bien sûr que le principe social de rendre l'éducation plus accessible est louable, et je suis sure que ce principe a joué dans la prise d'une telle décision, mais personne ne peut m'accuser de cynisme quand nous regardons tous les avantages qu'il y a pour une université aussi prestigieuse que Harvard de s'ouvrir aux basses classes.
Aux État-Unis, comme dans tout pays qui a choisi la voie néo-libérale, la richesse se concentre de plus en plus dans les mains de moins en moins de personnes. Ces familles (pour ne pas dire dynasties) occidentales étant ce qu'elles sont, elles font aussi de moins en moins d'enfants. Ce qui veut dire qu'il y a de moins en moins de clientèle chez les plus aisés de la société pour les université comme Harvard.
En ouvrant ses portes aux moins nantis, Harvard diversifie son marché, et quand nous savons que c'est les anciens étudiants qui ammènent les gros sous et le prestige de leur rang dans la société une fois leurs études terminées... et bien moi j'appelle ça un bon investissement sur le futur.
Sans oublier que nous parlons ici des État-Unis, un pays industrialisé qui fait peur avec son taux d'analphabétisme. C'est un fait, il y a de moins en moins d'instruction et donc le nombre d'étudiants qui vont vouloir entrer à l'université va (est en train de ?) chuter. En se rendant accessible immédiatement à tous, Harvard aggrandit sa chance de puiser dans un bassin de clientèle qui se rétrécit déjà. Moi j'appelle ça damer le pion aux autres universités.
Sérieux, c'est vraiment brillant...
De toute façon j'aime beaucoup l'idée que des étudiants motivés et talentueux vont se retrouver là où ils devraient être; derrière des pupitres à apprendre, à analyser et ainsi a trouver des solutions créatives pour l'avenir de leur carrière ET de leur communauté, au lieu de s'embarquer dans l'armée. Donc quels que soient les motifs, j'encourage toutes les universités qui le peuvent à suivre l'exemple.
Évidement un tel modèle n'est pas viable pour les universités québecoises, sauf peut-être (et là je n'ai pas de chiffres à l'appui, je me lance sans filet) pour celles qui ont une tradition anglo-saxonne de mécénat de l'institution par les anciens élèves (nenon je vise personne:P).
vendredi 14 décembre 2007
Déficit à l'UdeM!
Après l'Université du Québec à Montréal (UQAM), c'est maintenant au tour de l'Université de Montréal (UdeM) de voir une portion de sa subvention retenue par le ministère de l'Éducation, en raison de sa mauvaise situation financière, a appris Le Devoir. L'université sur la montagne entend également emboîter le pas à sa collègue du centre-ville en imposant une hausse des frais afférents oscillant entre 230 $ et 560 $, selon les catégories d'étudiants.(l'article du Devoir)
Après ça ils disent que le sous financement est dans la tête des étudiants... pfff!
J'espère que les étudiants de l'UdeM vont réagir...
Nous savons tous que l'hiver qui s'en vient devrait être chaud du point de vue des revendications étudiantes... Est-ce-que l'hiver va être anti-révolutionnaire?;)
Ouf! Le blog est pas mal vide pour le mois de décembre. Le marathon continue...les deux derniers examens sont lundi.
...là j'ai besoin d'une sieste...juste une toute petite... *yeux qui ferment*
Être en forme pour travailler ce soir, pour gagner de l'argent pour mes études, pour donner de l'argent à mon université, pour que l'État continue à en mettre moins, pour que je doive travailler plus, pour être plus fatiguée et moins efficace dans mes travaux...
C'est drôle pareil (j'aurais surement dû dire triste à la place)... Dans une excellente logique nous nous disons qu'un jeune du secondaire ne devrait pas travailler (sauf des tites jobines) parce que sa job c'est d'étudier.
Et nous?
Notre job aussi c'est d'étudier non?
Parce qu'on est des adultes nous ne méritons plus d'avoir toutes les chances de notre côté pour réussir?
Quelqu'un peut m'expliquer?
Hum...l'amertume ne me va pas bien... je vais vraiment aller me coucher...
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mardi 4 décembre 2007
Rire et pleurer
Tout d'abord pleurer:
Ouf! Je suis encore sous le choc... l'article complet ici. Merci à Prof Masqué pour la diffusion... je suis entièrement d'accord, diffusons cette nouvelle écoeurante qui donne envie de gerber. Moi qui pensait que les parents de l'adoption internationale étaient triées sur le volet... Ceux là ont juste vu une marchandise: "au prix qu'on l'a payé il n'est même pas comme on veut, renvoyons le et achetons un chien chéri!".
ARGH!
Maintenant rire (parce que j'ai rit en c**** en voyant ça).
En plus la chanson reste dans la tête... (maudit je suis jamais capable de mettre un youtube sur le blog)
Sérieux en la réécoutant j'ai fallit recracher mon jus par le nez.
"Sachant remonter leurs manches, s'il le faut même le dimanche
Il se battent pour l'emploi, c'est ça leur honneur, c'est ça leur loi"
"Le pays compte sur toi, allez les PME"
"Batis, c'est ça la vie"
... Les ralentis avec les dudes qui courent, les mauvais effets du début des années 80, la fille (secrétaire?) qui danse, les ti monsieurs cravates qui pointent l'écran... hahaha malade!
Merci au blog Reactionism Watchpour une aussi belle découverte... ça aussi c'est sur qu'il faut le diffuser:D.
Bon je retourne m'enterrer pour finir par finir cette session... courage nous achevons!
Le couple de Boucherville soupçonné d'avoir abandonné son fils en Haïti s'est vu retirer la garde légale de son enfant mardi, une étape de plus vers le rapatriement du jeune au Québec.
Le Tribunal de la jeunesse a accordé une requête pour transférer la garde légale de l'adolescent de 16 ans à la Directrice de la protection de la jeunesse.
La DPJ travaille depuis plusieurs mois à rapatrier l'adolescent au Québec. La décision du Tribunal permettra de placer ce dernier dans une famille d'accueil à son retour au Québec.
Adopté en bas âge dans un orphelinat haïtien par un couple de Boucherville, le jeune avait été «retourné » en Haïti vers l'âge de 11 ans, car ses parents n'étaient pas satisfaits de son comportement.
Ouf! Je suis encore sous le choc... l'article complet ici. Merci à Prof Masqué pour la diffusion... je suis entièrement d'accord, diffusons cette nouvelle écoeurante qui donne envie de gerber. Moi qui pensait que les parents de l'adoption internationale étaient triées sur le volet... Ceux là ont juste vu une marchandise: "au prix qu'on l'a payé il n'est même pas comme on veut, renvoyons le et achetons un chien chéri!".
ARGH!
Maintenant rire (parce que j'ai rit en c**** en voyant ça).
En plus la chanson reste dans la tête... (maudit je suis jamais capable de mettre un youtube sur le blog)
Sérieux en la réécoutant j'ai fallit recracher mon jus par le nez.
"Sachant remonter leurs manches, s'il le faut même le dimanche
Il se battent pour l'emploi, c'est ça leur honneur, c'est ça leur loi"
"Le pays compte sur toi, allez les PME"
"Batis, c'est ça la vie"
... Les ralentis avec les dudes qui courent, les mauvais effets du début des années 80, la fille (secrétaire?) qui danse, les ti monsieurs cravates qui pointent l'écran... hahaha malade!
Merci au blog Reactionism Watchpour une aussi belle découverte... ça aussi c'est sur qu'il faut le diffuser:D.
Bon je retourne m'enterrer pour finir par finir cette session... courage nous achevons!
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humour,
valeurs humaines
lundi 3 décembre 2007
Et moi, et moi, et moi.
Et moi ?? ma session ??
merde... c'est que nous sommes étudiante... hum...
Me fait toujours plaisir de savoir que Jacques est là... avec moi et moi et moi
...j'y pense et puis j'oublis... c'est la vie c'est la vie...
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