Le désastre financier de l’UQAM prend une allure de plus en plus grotesque alors que les subventions retenues par le gouvernement pour cause de mauvaise gestion poussent l’UQAM à emprunter des sommes qui engendrent un intérêt quotidien de 52 000 $ (Le devoir, 20 février 08). Le gouvernement punit ainsi les récalcitrants à sa politique d’austérité budgétaire, mais l’UQAM ne doit pas être gérée comme une business . Elle est une institution publique devant favoriser l’accessibilité des classes populaires à une éducation postsecondaire de qualité. C’est en ce sens que l’État doit assurer le soutient financier d’une institution aussi importante. La logique comptable, quant à elle, ne reconnaît que ses propres règles et compromet aujourd’hui la mission de cette université. Et ce n’est que la pointe de l’iceberg...
Mardi 26 février :
7h30 : Débrayage spécial pour lève tôt
11h00 : Mobilisation à l’université de Montréal qui connaît des hausses de frais semblables à celles de l’UQAM. Plusieurs assemblées générales de grève s’y tiendront (Rendez-vous à 10h00 devant le local de l’AFESH)
Mercredi 27 février :
7h30 : Débrayage spécial pour lève tôt
8h, 12h et 17h : MOBILISATION URBAINE Diffusion d’information sur la situation uqamienne à la population sur la place publique.
10h00 : Journée d’études sur l’éducation et le néolibéralisme
19h00 : Projection de films
7h30 : Débrayage spécial pour lève tôt
8h, 12h et 17h : MOBILISATION URBAINE Diffusion d’information sur la situation uqamienne à la population sur la place publique.
10h00 : Journée d’études sur l’éducation et le néolibéralisme
19h00 : Projection de films
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