Le premier ministre Jean Charest a assoupli ses directives visant les conflits d'intérêts afin de permettre à un ministre de posséder une entreprise qui obtient des contrats du gouvernement, et même du ministère qu'il dirige. Auparavant, les membres du conseil des ministres devaient se débarrasser de leurs actions de sociétés fermées qui faisaient affaire avec le gouvernement dans les 60 jours qui suivent leur nomination.
Selon les nouvelles directives signées le 4 mars et remises à l'opposition lors de l'étude des crédits du conseil exécutif lundi, Jean Charest permet à un ministre de demeurer propriétaire, en tout ou en partie, d'une entreprise qui obtient des contrats du gouvernement. Mais le premier ministre, à sa discrétion, peut ordonner à ce ministre de prendre «les mesures jugées suffisantes [...] pour éviter tout conflit d'intérêts, collusion ou influence indue». [...]
C'est la troisième fois que Jean Charest modifie ses directives aux ministres quant aux conflits d'intérêts, chaque fois pour autoriser des situations qui violaient les règles.
Selon les nouvelles directives signées le 4 mars et remises à l'opposition lors de l'étude des crédits du conseil exécutif lundi, Jean Charest permet à un ministre de demeurer propriétaire, en tout ou en partie, d'une entreprise qui obtient des contrats du gouvernement. Mais le premier ministre, à sa discrétion, peut ordonner à ce ministre de prendre «les mesures jugées suffisantes [...] pour éviter tout conflit d'intérêts, collusion ou influence indue». [...]
C'est la troisième fois que Jean Charest modifie ses directives aux ministres quant aux conflits d'intérêts, chaque fois pour autoriser des situations qui violaient les règles.
Y que c'est le fun d'être majoritaire!
1 commentaire:
c'est tellement le fun, j'ai comme le coeur plein de joie à lire son bonheur de majoritaire... quoi que, il doit avoir mal aux cuisses à force de se taper dessus en riant...
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