Ah ! Pendant cette première semaine de grève, j’ai eu le bonheur de croiser toute sortes d’espèces. L’UQÀM regorge de phénomènes sociaux atypiques. Comme dans toute étude fictive, il n’existe pas de structure définitive, il arrive que des sujets basculent d’une catégorie à une autre, ceci n'est nullement scientifique et ce veut une joyeuse caricature de la réalité.
Nous avons les je-m’en-foutistes, généralement peu concernés par le genre humain en général sauf lors de téléthon larmoignant. Les causes de la SPCA les rejoints plus facilement. Ce genre humain est facilement embêté par les revendications de sauvegarde d’acquis. Le bien-commun est une utopie qui représente bien les rêveurs de la gau-gauche, ils sont généralement désillusionné et ne croit pas que des changements soit possibles. Ils sont les dignes représentants de l’immobilisme politique. On attend que ça passe ou que ça ne passe pas, peu importe.
Il y a également les activistes étudiants, ont retrouve souvent cette espèce dans les concentrations d’études humaines, donc à l’AFESH. On les reconnaît à leur airs atypiques croisement entre des voyages de pèlerinage en plein cœur de l’Amérique Latine et du lègue du grand Bob Marley. Bref, sont partout et ne semble pas avoir de vie en dehors de l’engagement social. Les heurtes envers les autres espèces sont donc inévitables. Ils sont les emmerdeurs de premières pour quiconque veut un peu de paix et ne pas entendre parler des injustices de ce monde. Les activistes étudiants sont les Némésis des je-m’en-foutistes.
Les grévistes sont la catégorie par excellence pour illustrer la multiculturalité de l’UQÀM. Il se reconnaissance entre eux, sont généralement en possession d'un symbole distinct : le carré rouge. Or ils se fondent facilement dans la masse, ils sont de toutes les disciplines et de toutes les origines. Ils opèrent à l’interne. Ce sont évidement les plus dangereux, ils font de la propagande à leur famille, collègue de travail, amis, tout le monde y passe. Ils s’acharnent le bon moment venu à la démystification de préjugés. Ils sont étudiants, citoyens du monde et font du 24h par jour, 7 jours semaines et ce, pendant toute l’année même les jours fériés.
Mais la catégorie qui m’écœure… bien au-delà des mots… ce sont les vacanciers.
Nous avons les je-m’en-foutistes, généralement peu concernés par le genre humain en général sauf lors de téléthon larmoignant. Les causes de la SPCA les rejoints plus facilement. Ce genre humain est facilement embêté par les revendications de sauvegarde d’acquis. Le bien-commun est une utopie qui représente bien les rêveurs de la gau-gauche, ils sont généralement désillusionné et ne croit pas que des changements soit possibles. Ils sont les dignes représentants de l’immobilisme politique. On attend que ça passe ou que ça ne passe pas, peu importe.
Il y a également les activistes étudiants, ont retrouve souvent cette espèce dans les concentrations d’études humaines, donc à l’AFESH. On les reconnaît à leur airs atypiques croisement entre des voyages de pèlerinage en plein cœur de l’Amérique Latine et du lègue du grand Bob Marley. Bref, sont partout et ne semble pas avoir de vie en dehors de l’engagement social. Les heurtes envers les autres espèces sont donc inévitables. Ils sont les emmerdeurs de premières pour quiconque veut un peu de paix et ne pas entendre parler des injustices de ce monde. Les activistes étudiants sont les Némésis des je-m’en-foutistes.
Les grévistes sont la catégorie par excellence pour illustrer la multiculturalité de l’UQÀM. Il se reconnaissance entre eux, sont généralement en possession d'un symbole distinct : le carré rouge. Or ils se fondent facilement dans la masse, ils sont de toutes les disciplines et de toutes les origines. Ils opèrent à l’interne. Ce sont évidement les plus dangereux, ils font de la propagande à leur famille, collègue de travail, amis, tout le monde y passe. Ils s’acharnent le bon moment venu à la démystification de préjugés. Ils sont étudiants, citoyens du monde et font du 24h par jour, 7 jours semaines et ce, pendant toute l’année même les jours fériés.
Mais la catégorie qui m’écœure… bien au-delà des mots… ce sont les vacanciers.
Les vacanciers sont ceux qui profite des moments de tentions telle une grève pour rester à la maison et glander et trouve même le moyen d’être en retard sur le plan académique. Ce sont les vampires de la société universitaire, les girouettes de la masse étudiante, sans réelle opinion parce que cela nécessiterais un temps d’arrêt et surtout un moment de réflexion or y réfléchir est un effort intellectuel non rémunéré (ne donne pas de points, ni de crédits) et donne donc rien. Vampire parce qu’ils prennent de l’énergie à leurs ami-es plus engagé-es en freinant l’intérêt pour la ou les causes en jeu. Généralement, c’est une forme de politesse qui cache en réalité une nature déjà répertorié, les je-m’en-foutistes.
Ceux-là… ceux-là m’énerve, me pompe le jus et ça n’a rien à voir avec l’amitié. C’est pitoyable. Ils sont à mon sens le triste miroir de la réalité de notre système d’éducation malade, ils savent sans savoir, passe à travers une formation au lieu de marcher dans une éducation. Ceux-là me font mal au cœur. Ils sont des pseudo-étudiants, sans jamais savoir qu’il y a des devoirs sociaux… en fait, non… ils le savent, mais c’est impliquant et puis à y penser faudrait bouger. C’est fatiguant, c’est même frustrant. Vaut mieux rester à ne rien faire, à s’accommoder du vent qui passe, le vent fini toujours par passer.
Dans cette étude fictive, je passerais rapidement sur l’espèce d’étudiants droituriens qui y croient au vent de droite, le poster de Mario Dumont dans la cuisine donne sans doute quelques éléments à la compréhension. Il y a même des droituriens qui y croient tellement qu’ils font la promotion de leur idéal : le système néolibéral. En fait, je n’ai rien contre. En réalité, rendu là nous parlons de convictions politique, une vision en vaut bien une autre… un poster du Che vaut bien celui de Mario s’il incarne une idéologie qui s’assume.
En gros, ce qui m’a fait rugir pendant toute la semaine ce sont les vacanciers. Comme si j’avais le temps de materner des faux intéressés… Parfois, j’ai l’impression que quelques uns de mes amis en vacances et non en grève, ont un assez beau terrain de jeu au creux de leur nombril.
Qui à dit qu’à l’université se trouvait tous des UNIVERSITAIRES ?? Puff… Je vois parfois une mer de nombrils et de gens en vacances…
3 commentaires:
Ayoye!
*Y'a de la haine*;)
(C'est vraiment la chanson du jour)
Je sais pas, mais ça m'a fait du bien... surtout que je ne suis pas certaine que des vacanciers viennent sur notre blog.... des posts, c'est long à lire... :P
Belle et saine colère; tes portraits sont bien ciblés. Y en a marre de ceux qui se laissent vivre. Par contre, je ne peux même pas te rassurer puisque la faune étudiante n'est que le reflet des genres d'individus qu'on retrouve dans la société. M'enfin...
Continuez de nous raconter la grève. J'apprécie, même si je ne prends pas toujours le temps de commenter.
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