lundi 5 janvier 2009

journal d'une étudiante ?

À travers l'Histoire, il y a toujours des jours sombres et obscures qui changent à jamais le monde tel qu'il avait toujours été connue.

Ce lundi 5 janvier 2009 marque dans mon histoire un jour tragique.

Je ne suis plus étudiante. Plus l'argent...

C'est assez tragique en soi, mais je crois que ce sera simplement les premières semaines qui seront le plus difficiles. Et puis faut dire que je suis sur les bancs d'école depuis mes 5 ans... Je m'étais attachée ^^

Faut jamais prendre ça pour acquis, je veux dire... l'éducation.

Est-ce que ma passion pour l'éducation à changer ? Oui... elle a doublé !

Est-ce que je compte retourner à l'UQÀM ? Ben là... Y m'aurons pas ces morons là !

Qu'est-ce que je fais alors pendant ce temps... Je milite, Je change le monde de temps à autre et je travaille... Parce que si je ne suis plus à l'école, il en reste pas moins que j'ai des tas de projets !


2 commentaires:

Pwel a dit…

Une petite pause pour revenir en force à la prochaine session que tu feras!

En attendant... ta ville a besoin de toi (haha!) et toutes les causes et le parti politique (hihi c'est au singulier) qui nous tiennent à coeur.

Tu es la preuve vivante que rien n'est facilité aux étudiants qui ont le malheur d'être pauvres ou qui viennent de familles pauvres.

Avant les fêtes j'écoutais "La Joute" pendant un débat qui parlait de frais de scolarité. La tarte (s'cusez c'est un sujet qui m'atteint) de Karina Marceau criait dans son micro que ça ne sert à rien de baisser les frais de scolarité parce que selon les statistiques ce sont ceux qui ont les moyens qui sont à l'université, pendant que Raymond Gravel essayait péniblement de dire: "oui mais les autres ne sont pas là parce qu'ils n'ont pas les moyens!"

Bref selon K. Marceau et ceux qui pensent comme elle, tu n'existes pas Nat.

Ou mieux: si tu n'as pas les moyens d'aller à l'université c'est parce que tu ne veux pas vraiment y aller.

Grrrr


Y NOUS AURONT PAS CES MORONS LÀ!
:)

*Natacha* a dit…

exactement !

y nous aurons pas !

grirrr